Après plus de 150 ans d’histoire, le Théâtre Le Reflet propose une offre théâtrale très diversifiée. Depuis quelques années, le théâtre cherche à se rendre accessible au plus grand nombre, notamment en adaptant les tarifs et en proposant des mesures spécifiques pour les classes.
Un fil d'une longueur de 180 mètres, à 20 mètres du sol, tendu entre le Château de l'Aile et Le Reflet, voici le point de départ de cette aventure aérienne à haut risque. Sans attache et portée par le vent, Tatiana-Mosio Bongonga, funambule, a parcouru ce fil tendu avec une agilité à couper le souffle.
Suivons Roland Vouilloz dans les coulisses du Théâtre Le Reflet, quelques minutes avant d’entrer sur scène pour jouer « Mourir, dormir, rêver, peut-être ».
À l’occasion du 150e anniversaire, le Théâtre Le Reflet a organisé tout un volet de festivités. Visite dans les coulisses du Théâtre avec la directrice Brigitte Romanens-Deville.
En collaboration avec le plasticien Olivier Grossetête et le CEPV, Le Reflet a organisé une construction monumentale en cartons, de plusieurs dizaines de mètres d’envergure. Le public a été invité à assembler des boîtes en carton vides pour édifier un bâtiment, sans grue ni machine. Chaque structure est unique et pensée sur mesure à chaque lieu. C’est l’occasion de vivre une expérience humaine et artistique inédite.
Les artistes créent des courts-métrages à partir de cartes postales ou de vues photographiques découpées, pliées et mises en volume, qu’ils animent par la vidéo, le son, la lumière et, parfois, le texte. Chaque « ville de papier » relate l’histoire de son territoire de manière unique, nourrie par les archives locales.
À l’occasion du 150e anniversaire, le Théâtre Le Reflet a organisé une sortie théâtrale en pleine forêt. Trois compagnies vaudoises se sont emparées du texte de Shakespeare pour une représentation immersive, en extérieur.